« Ce n'est pas un signe de bonne santé mentale que d'être bien adapté à une société profondément malade. » Jiddu Krishnamurti
Aujourd'hui la censure par Facebook est de plus en plus grande et la délation qui va avec aussi. La France est dans le top 4 des pays avec les plus fortes demandes de censures par signalement d'internautes.
"La France fait partie du peloton largement en tête des pays qui ont le plus demandé le retrait de contenus auprès de Facebook, Google, Microsoft, Twitter ou encore Wikimedia, l'éditeur de Wikipedia." Le Parisien (02 Oct 2019)
Contacté par Le Parisien, le groupe de Mark Zuckerberg assure : « nous répondons aux demandes gouvernementales concernant les données conformément aux lois en vigueur et à nos Conditions de service. Chaque demande que nous recevons fait l'objet d'un examen minutieux afin de déterminer si elle est suffisante sur le plan juridique ».
Depuis quelque jours Facebook a sorti une nouvelle censure encore plus sournoise, "Le décodeur", où de soit disant journalistes qui traquent des publications internet ciblées non mainstream (blogs, médias, sites alternatifs d'informations), et jusque que dans le "privé" des comptes personnels. Qui sont-ils? Par qui sont-ils payés? Pour qui travaillent-ils?
"Ces contenus externes sont immédiatement bloqués par les programmes informatiques de Facebook."
Des articles divers d'informations publiés sur internet, considérés par Facebook comme venant mettre à mal le pouvoir politique des gouvernements et des lobbys avec lequel il collabore main dans la main, comme pour les révélations et prises de paroles à propos du covid-19 du Pr Didier Raoult ou du Pr Luc Montagnier, où ces contenus externes sont immédiatement bloqués par les programmes informatiques de Facebook.
Mais là où le vice est encore plus intolérable c'est que, comme dans les dictatures de la pensée, Facebook vient sur la sphère des comptes personnels et jusque dans les publications partagées en privé, scander par une notification "Votre publication contient de fausses informations", et se fait le relais d'un lien vers un journal mainstream comme "Le monde" lui apportant "La Vérité". Fou!
En clair, Facebook fait du "flicage" des comptes et des publications, puisque son PDG M. Zuckergerg a signé un accord avec E. Macron en novembre 2018 pour que le gouvernement français puisse avoir librement accès à tous les contenus même privés. Mais depuis quelques jours avec ses "décodeurs mainstream", Facebook vient maintenant nous dire de qu'elle manière il faut penser et quoi dire! On a franchit là un autre cap de la manipulation de masse de ce confinement du coronavirus.
"Quand on est sain d'esprit, on n'accepte pas ce type de relation, on y met de suite un terme, sinon c'est la perte de sa propre identité."
Facebook est-il nécessaire dans la vie? Je ne crois pas! Car outre le fait que ce soit le temple du narcissisme, de la superficialité, du déni collectif sur l'illusion du bonheur matérialiste, il aussi devenu celui de la délation à la Française ("ces vieilles mémoires du temps jadis quand tu nous tiens", celles du régime et Vichy et de libération de la guerre 39-45), mais aussi de la "bonne pensée" bien formatée du "politiquement correct".
Personnellement, je me pose une question. Pourquoi continuer à fréquenter une "entité" toxique et "perverse"? Nous sommes dans le même type de rapport qu’entre une "proie" et une personne "perverse narcissique". On se laisse éblouir et dominer par des promesses et des menaces. Quand on est sain d'esprit, on n'accepte pas ce type de relation, on y met de suite un terme, sinon c'est la perte de sa propre identité.
Outre le fait d'accepter ou pas ce type de relation perverse, l'autre problème est que en y participant on alimente et on nourrit ce "monstre", qui au final engloutit toute une société et formate (et mate) tout un collectif. En y partageant du contenu de qualité ou distrayant, on fait croire que ce système Facebook est "fréquentable". En y partageant nos informations personnelles, nos données, on fait oublier la face cachée de ce système ultra commercial, qui a été condamné à 5 milliards de dollars en 2019 suite à l'affaire Cambridge-Analytica pour le vol de données personnelles de 87 millions d'utilisateurs.
A chacun de choisir en conscience. Ce qui est certain, c'est que cet espace laissera dans un avenir de plus en plus proche de moins de place à la véritable liberté d'expression, de penser et d'être, et qu'on y trouvera de moins en moins de sources de connaissance pour lutter contre l'ignorance et l'asservissement au matérialisme et à la consommation des masses.
Mais pour aller plus loin, je vais vous monter ce que Facebook cache réellement et donc personne n’a conscience et pour cause, car cela concerne le « plan causal » personnel et collectif.
Le « plan causal » c’est ce qui nous lie et nous attache à notre passé, à nos traumatismes, à notre histoire personnelle et familiale, à notre « karma ». Ce plan causal est l’influenceur le plus important dans notre vie, car il nous dicte inconsciemment nos choix de vie mais aussi notre manière d’être et de penser. Il se caractérise aussi par le « Karma », lorsqu’il concerne nos plans les plus profonds en rapport avec notre destiné et ce que nous avons à « dépasser » dans notre incarnation. Car nous nous incarnons dans une histoire qui porte les traces d’autres vécus antérieurs, celui de la lignée, et des expériences de cette lignée pour affronter ses limitations diverses (peur de la mort, mensonge, égoïsme, méchanceté, malhonnêteté, manipulation, etc…) et qui ont fait obstacle au chemin de vie de nos ancêtres.
La rétro-causalité, est le phénomène qui vient en écho du passé s’imprimer dans le futur puis dans le présent lorsqu’on atteint cette balise implantée dans notre futur. Et cet effet de rétro-causalité, est une projection de la « cause à effet » de ces limitations du passé (mémoires vibratoires) que nous portons tous en nous. C’est comme si nous envoyons dans notre futur, le message de construire un obstacle parce qu’on est attaché aux obstacles, et qu’on ne peut pas envisager de vivre autrement qu’avec un chemin barré (auto-sabotage).
"En « pacifiant » et « pardonnant » on pourrait alors se libérer de ces mémoires limitantes et toxiques, et donc enfin se diriger vers le véritable potentiel de sa vie."
Ainsi, si nous portons en nous une « mémoire limitante » de violence, nous allons envoyer comme « signal ou balise » dans notre futur que la violence est quelque chose qui nous fait peur, mais aussi qui occupe toutes nos pensées. Et que nos comportements de « défense » visent à nous « protéger » d’un risque de violence extérieure provoquant en nous de la peur. Au lieu d’ouvrir le champ d’un futur possible créateur libre et aligné sur notre potentiel profond, nous le réduisons à ce que nous connaissons déjà et dont nous portons l’empreinte, car c’est ce que nous connaissons le mieux dans l'expérience de notre vécu et ce à quoi nous allons aussi nous raccrocher. Nous allons alors paradoxalement (mais pas vraiment puisque c’est causal) nous retrouver à vivre continuellement des situations de violences et de conflits, car c’est ce dont nous avons peur mais parce que c’est aussi ce que nous faisons exister.
On pourrait donc en prenant un exemple thérapeutique holistique, par une technique de « régression » (hypnose régressive, méditation guidé de vies antérieures), retrouver la « cause » de ce traumatisme et des violences vécues soit dans l’enfance, soit chez les parents, soit chez un ancêtre de la lignée familiale. En « pacifiant » et « pardonnant » on pourrait alors se libérer de ces mémoires limitantes et toxiques, et donc enfin se diriger vers le véritable potentiel de sa vie, la destiné du Dharma.
"On ne peut s’intéresser au contenant sans regarder ce qu’il y a à l’intérieur, ces fameux 2,5 milliards d’utilisateurs en complète addiction à ce média."
Le nombre d'utilisateurs de Facebook dans le monde fin 2019 était 2,5 milliards d'utilisateurs actifs chaque mois et 1,66 milliard d'utilisateurs actifs chaque jour dans le monde. Il faut ramener ces chiffres au 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre, soit 32% présents sur Facebook, ce qui est énorme! Ce média social qui a la vocation de tisser des « liens » entre les amis, est aussi un monstre à plusieurs têtes. Mais si on connait celui de l’exploitation des données personnelles à des fins commerciales, celui du « flicage » voire « fichage » des internautes par Facebook lui-même en devenant le « big brother » des gouvernements, celui de la « délation », et de la traque aux #fakenews comme aux #complots, on en oublie le principal les utilisateurs eux-mêmes. Car on ne peut s’intéresser au contenant sans regarder ce qu’il y a à l’intérieur, ces fameux 2,5 milliards d’utilisateurs en complète addiction à ce média.
On retrouve dans ce « chaudron empoisonné » qu’est Facebook, toutes les tranches de la population, c'est-à-dire de la mafia des bas fonds aux bandits en col blancs en passant par la personne lambda à l’éminent scientifique jusqu'au leader charismatique spirituel. Et toutes ces personnes sont liées par le même « objet », Facebook qui stocke toutes leurs données, tous leurs faits et gestes, toutes leurs pensées et humeurs. Et ces personnes sont liées par de soit-disant lien d’amitié, celui des fameux « amis » Facebook. Et ce sont ces liens avec les « amis » qui vont révéler, l’autre coté obscurs, pervers et délétère de ce média social.
"Les 2,5 milliards d’individus qui composent l’égrégore Facebook sont-ils en bonne santé mentale ?"
On sait que Facebook est le temple de l’illusion du bonheur, de l'égo, du narcissisme, de la superficialité, en résumé la grande illusion sur soi-même. Et ces « amis » réels ou virtuels jamais rencontrés sont les spectateurs de tous ces individus en perte de réalité et de repères intérieurs, venant chercher le regard et l’approbation de l’illusion qu’ils montrent en spectacle. Je vous rappelle la citation du grand penseur et philosophe Indien Jiddu Krshnamurti du début de cet article dont j'admire la clairvoyance : « Ce n'est pas un signe de bonne santé mentale que d'être bien adapté à une société profondément malade. »
Les 2,5 milliards d’individus qui composent l’égrégore Facebook sont-ils en bonne santé mentale ? Ont-ils véritablement le recul sur eux-mêmes et sur leur vie, et sur ce qu’ils mettent en scène quotidiennement à travers leur écran d’ordinateur ou de smartphone. Car le plus grand obstacle que l’on rencontre sur Facebook et dans les échanges, c’est un blocage personnel dans toute volonté de remise en question, de pensées alternatives, d’ouverture d’esprit, d’accès à de nouvelles connaissances, d’une envie d’évolution, de changement profond. Ce que nous montrent tous ces individus, c’est qu’ils sont très « attachés » à cette image d’eux-mêmes, images qu’ils ne cessent de mettre en avant, de montrer ou de défendre comme étant leur vérité. Et cette image est liée à une illusion de leur vie présente, dont les racines sont dans le passé. Et ce passé, c’est leur « plan causal », celui qui influence tous ceux qui n’en sont pas libérés, le subissent inconsciemment et s’y complaisent.
"Les 2,5 milliards d’internautes vivent dans un monde parallèle et obsolète, c'est-à-dire dans un passé limitatif spatio-temporel"
La vision des « amis » est en lien avec le passé, par des évènements anciens, et même si ces partagent sont seulement « vieux » de quelques heures, ils sont déjà dans le passé et de l’histoire qui a été vécue. Donc tout ce qui est partagé, montré, n’a pas de réalité dans l’instant présent, car à l’instant où vous consultez l’actualité de votre ami, elle fait déjà partie de son passé. Et quand votre ami a posté son information, elle faisait aussi partie de son passé. Les amis Facebook vivent tous dans une illusion du « présent », mais ils sont en réalité systématiquement relier dans un passé. Le futur n’existe pas sur Facebook comme le présent. C’est la grande illusion de ce média. Les 2,5 milliards d’internautes vivent dans un monde parallèle et obsolète, c'est-à-dire dans un passé limitatif spatio-temporel.
C’est pour cela qu’il est impossible d’évoluer, de s’ouvrir, d’apprendre et surtout de changer avec Facebook, car ce média maintient dans une fausse illusion du temps présent qui en réalité est un passé omniprésent. Et donc en vivant dans son passé imaginaire ou fantasmé, on vit dans son plan causal, celui qui produit les véritables évènements « récurrents » du présent en conditionnant aussi le futur. Les 2,5 milliards d’amis Facebook vivent donc tous dans leur plan causal personnel. Et on retrouve cette harmonique vibratoire du plan causal en psycho-énergétique sur le premier chakra extra-corporel « Rose » (juste au dessus du chakra coronal, au dessus de la tête) qui est la porte d’entrée vers son futur et son potentiel créateur. Ce qui signifie que lorsque le plan causal est toujours actif et non libéré, il vient vibrer en résonance harmonique des chakras ancestraux sur les plans supérieurs de conscience, et donc bloquer l’accès à la personne à tout changements et à toutes possibilités de vivre sa véritable destiné. Elle ne pourra que revivre et rejouer son passé, et les « causes » en empreintes dans son passé.
"Voilà pourquoi il est impossible d’évoluer, ni de changer, ni d’ouvrir sa conscience grâce à Facebook!"
Facebook est donc un égrégore collectif qui concentre toutes les limitations des « plans causaux » individuels des 2,5 milliards de personnes qui utilisent ce média social. Et voilà pourquoi il est impossible d’évoluer, ni de changer, ni d’ouvrir sa conscience grâce à Facebook, car ce média nous ramène toujours quoique nous fassions dans nos propres limitations personnelles qui sont les pures résonances de notre plan causal ou karmique, et qui vont s'entrechoquer avec celles de tous nos amis.
Il est donc important, si l’on veut se libérer de son causal, ancestral et karmique, de se libérer aussi de l’addiction à l’illusion de ce média qu'est Facebook. Car il ne fait que renforcer vos liens aux mémoires de souffrances qui vous enchainent depuis toujours. Et c'est ce que font les 2,5 milliards d'utilisateurs, ils s'enchainent à eux-même mais aussi tous ensemble les uns les autres. En vivant dans le passé, vous pensez y échapper en l’habillant d’une illusion présente, mais vous ne faîtes que réactiver inconsciemment ce passé, en permanence en cherchant une forme de rassurance à la peur du vide existentiel que vous renvoie par vagues régulières votre existence, dont vous n’assumez pas le véritable but : sortir de l’illusion du monde et être soi-même dans son plein potentiel créateur « divin », c'est à dire le meilleur de soi-même.
Quand on est est dans un cheminement en conscience, dans un élan de bonne santé mentale et de purification intérieure, quitter Facebook et mettre fin à son addiction liée au plan causal et à ses effets, est vital. Car si on veut réussir à s'élever et à s'ouvrir à de nouveaux potentiels personnels en adéquation avec notre âme, la voie de la réalisation passe par la « libération ». Et cette libération est un processus d'abandon de ses propres mémoires traumatiques inconscientes inscrites au plus profond de nous-même. C'est à partir de cette étape que nous pouvons avoir accès à notre véritable « libre arbitre » en lien avec le « champ quantique » dans lequel nous somme immergés.
- Jérôme Rochelle -
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- À propos de Jérôme Rochelle -
Amoureux de la nature, ancien grimpeur et alpiniste de haut-niveau, passionné de vol en wingsuit, Ingénieur en physique thermodynamique puis formé à la Médecine Traditionnelle Chinoise, à la Bioénergie et à la Psycho-énergétique quantique.
Thérapeute énergéticien utilisant autant la tradition ancestrale du chamanisme que la technologie quantique du LVA et des ondes scalaires, il est spécialisé en mémoires trans-générationnelles et karmiques mais aussi dans le contact aux défunts et le recouvrement d'Âme.
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