« La Vie après la Vie » est le titre d’un ouvrage de Raymond A. Mood paru en 1975 sur les expériences de mort imminente (EMI ou NDE near death experience). Depuis ce phénomène, au départ confidentiel, s’est répandu largement auprès du grand public et qui y voit là peut-être une preuve de l’Au-delà. De tout temps l’homme a cherché à croire en une vie après la mort, à la continuité de ce qu’il était, à l’existence d’une « âme ».
"Revenir à la justesse de soi-même, et non pas être ce que les autres veulent que nous soyons ou ce que nous-même croyons devoir être. Notre véritable lumière est au coeur de notre âme."
Nous sommes nos propres créateurs et c'est bien ce à quoi il faut revenir. Quand on s'éloigne trop de soi-même, de notre vérité intérieure, nous brisons l'enveloppe énergétique qui protège notre âme. Au lieu de choyer ce cocon nous édifions des barricades, des murs, des remparts fait de croyances, de peurs...
Beaucoup de gens cherchent, j'ai cherché, et malheureusement on ne trouve pas.
On ne peut trouver l'objet qui est hors du champ mental et émotionnel. Il n'y a que l'écoute de ses ressentis, de la petite voix du coeur, qui permettent à notre regard de se poser sur ce que nous sommes vraiment.
Notre histoire personnelle, nos souffrances, nous poussent souvent dans les mauvaises directions sur le chemin de la vie, allant de chaos en désillusions. Cela est juste le produit de notre volonté...
On essaye souvent de séparer les choses, les choses qui ont besoin les unes des autres. Nous sommes dans cette dualité là, mais l'humain ne peut exister ni vivre sans accepter ses parts invisibles, inexplorées en lui, comme s'il en était borgne d'une partie de lui même. Comment l'humain peut-il percevoir la réalité du monde, s'il n'en perçoit qu'une partie de son être?
La souffrance et la maltraitance animale par l’homme, sont les résultats d'une utilisation des animaux comme un bien matériel à valeur financière. C’est un grand tabou et un immense déni de nos sociétés industrielles et marchandes.
On peut condamner ceux qui font le "mauvais" boulot, les agriculteurs, les éleveurs, les transporteurs, les abattoirs, mais toute cette chaine existe car au bout il y a ceux qui consomment les animaux en produits.
Je suis parti en balade et j’ai choisi pour rejoindre le pied des falaises ensoleillées de partir du fond des gorges. J’aurais pu aussi les retrouver en passant par le haut du plateau. Mais l’idée de monter me séduit plus. Car en fait je me suis projeté mentalement et surtout intérieurement dans mes ressentis pour faire le choix de ce parcours.
Pourquoi monter ? C’est plus difficile, plus long. Alors que par le sommet où la route y mène, c’est tout l’inverse. Mais n’avez-vous jamais remarqué...
Dans le fond, il ne nous reste que notre liberté à sauver. Le reste appartient à l'espèce.
Là où les animaux et le vivant réussissent depuis des millions d'années, l'homme a échoué très rapidement. Ce qui le rend plus intelligent, le rend aussi plus fragile. Là où la meute de loups sait vivre en harmonie, en équilibre dans son clan et dans son environnement, l'homme n'y parvient pas.
L’homme moderne, l’être humain du 20ème et 21ème siècle est un déraciné. Il a perdu ses racines au fil de son évolution, de son accès à la modernité, au confort, aux biens matériels, à l’argent. Petit à petit, en sortant de son bush, de sa campagne, pour rejoindre les grandes cités et les mégapoles, il a oublié ses racines.
Je voudrais rendre un hommage et offrir mes remerciements... à toutes ces femmes... à toutes ces âmes qui oeuvrent pour ouvrir leur conscience et cheminent en osant aller au devant de leurs ressentis et de leurs intuitions malgré tous les obstacles sur leur chemin.
Ces femmes qui au fond d'elles même savent qu'elle ne sont pas ce qu'elles devraient être... ces femmes dont le coeur est ouvert vers l'amour et la bienveillance...