Un jour je suis mort.
C'est dans cette séance que j'ai compris qu'une partie de moi-même était coincée entre deux mondes... le choc 2 mois à peine après. Revenir d'une telle expérience est très compliqué, peu partageable car celui/celle qui ne l'a pas vécu ne peut pas comprendre.
Après 2 mois d’interruption de la lecture du dernier ouvrage de Romulad Leterrier (chercheur en ethnobotanique) & Jocelin Morisson (journaliste scientifique) « Se souvenir de l’au-delà », faisant suite au remarquable « Se souvenir du futur », je replonge dans l’univers des contacts avec les « esprits » de l’invisible et avec leur communication. Et cela me ramène donc à la page 94 de cet ouvrage et le titre du paragraphe « les esprits, c’est du vent ».
On entend souvent dire que les yeux sont les portes de l’âme. Et s’ils étaient aussi un portail de l’espace temps, un fameux trou de ver ou un trou noir ? Si l’on se détache de la matérialité et de la fonction de l’œil, cet organe magnifique nous permet de percevoir toute la subtilité du monde qui nous entoure et bien plus encore. Mais jusqu’où peut-il nous emmener ?
« La Vie après la Vie » est le titre d’un ouvrage de Raymond A. Mood paru en 1975 sur les expériences de mort imminente (EMI ou NDE near death experience). Depuis ce phénomène, au départ confidentiel, s’est répandu largement auprès du grand public et qui y voit là peut-être une preuve de l’Au-delà. De tout temps l’homme a cherché à croire en une vie après la mort, à la continuité de ce qu’il était, à l’existence d’une « âme ».