Notre vécu intra-utérin et à la naissance comme dans l'enfance conditionnent notre rapport à la vie et à notre existence. Car cette conscience que nous avons de nous-même est depuis toujours "Spirituelle" et non "Charnelle".
Mais ce corps physique, en plus d'être notre identité, notre personnalité, c'est notre conscience d'exister. Notre conscience est ce corps, ces corps énergétiques reliés à la matrice de la Terre et du Cosmos.
Si chacun des 7,8 milliards d’êtres humains sur terre prenait le temps d’explorer ses parts sombres, ses souffrances, ses mémoires traumatiques, ses liens toxiques transgénérationnels, son karma, c'est-à-dire toute la « causalité » de son existence, il s’affranchirait de toutes ses limitations et sabotages qu’il s’inflige à lui-même et répercute aussi sur le monde. Car toutes ces empreintes négatives qui ne sont pas libérées par chacun des 7,8 milliards d’êtres humains viennent créer le chaos.
Après 2 mois d’interruption de la lecture du dernier ouvrage de Romulad Leterrier (chercheur en ethnobotanique) & Jocelin Morisson (journaliste scientifique) « Se souvenir de l’au-delà », faisant suite au remarquable « Se souvenir du futur », je replonge dans l’univers des contacts avec les « esprits » de l’invisible et avec leur communication. Et cela me ramène donc à la page 94 de cet ouvrage et le titre du paragraphe « les esprits, c’est du vent ».
Je vous présente ici le cas d’une patiente ayant des problématiques liées à ses ancêtres et portant une « dette » karmique de lignée.
La première mesure LVA fait apparaître dans les fréquences extra-corporelles sur le plan spirituel au chakra Scintillant (le plus haut mesurable) à l’indice maximum autant coté gauche (corps) que droit (mental), la problématique principale « refus du karma des parents / conflits d’autorité au plan spirituel », mais aussi en limitation « incarnation difficile »...