Si chacun des 7,8 milliards d’êtres humains sur terre prenait le temps d’explorer ses parts sombres, ses souffrances, ses mémoires traumatiques, ses liens toxiques transgénérationnels, son karma, c'est-à-dire toute la « causalité » de son existence, il s’affranchirait de toutes ses limitations et sabotages qu’il s’inflige à lui-même et répercute aussi sur le monde. Car toutes ces empreintes négatives qui ne sont pas libérées par chacun des 7,8 milliards d’êtres humains viennent créer le chaos.